Photo(graphies)


GALERIE EX-NIHILO

Autour de la photographie

  • 2023

    Philippe Géron

     Eléments
     

     du 27 septembre au 28 octobre
    du mercredi au samedi 15h -19h

    Lise Busarello

    mardi 16 mai 2023 
    Le temps d'un silence
     
     

    Christine Coblenz

     8 mars 2023

 2022

Denis Morel

Pandora Dream

photographies


 
Du 18 octobre au 19 novembre 2022

Thierry Lathoud

Fragments

 
Du 6 Septembre au 1er Octobre


Christian DESCOUENS

Incertitudes maritimes 

 

Du 26 mai au 25 juin



Marion Massip

 

Du 19 avril au 21mai

du mardi au samedi  15 h -19 h


Mabeye Deme 

Gudi Dakar

 


 

Jean-Pierre Saez

caché derrière 




du 25 janvier au 26 février 2022

du mardi au samedi de 15 h 19 h

 2021

 Nathalie Marest

Ma vie aquatique

Photographies
 

du 2 au 27 novembre 2021

Jean-Pierre Bonfort

SOPALINS

Photographies 
 

 
 Il s'agit d'un ensemble de 13 diptyques de format 20x20 cm extraits de deux séries sur lesquelles l'artiste travaille depuis quinze ans qu'il tire sur du Sopalin.
 

 
"Bravo le haricot" est dédié  au peintre René Moreu.
"C'est pas pour dire" au footballeur Rachid Mekloufi 

du  premier au 26 juin 2021

Jean Louis Roux 

Buter, buter, buter encore

 
Photographies 
    La vie durant, nous n’en finissons jamais de buter sur les choses. Nous butons et butons encore, nous butons et rebutons. Non pas que les choses soient rebutantes, mais que tout, toujours, nous apparaît dans son étrangeté. Nous sommes des étrangers. Nous sommes venus au monde, mais le monde ne nous attendait pas. Il ne nous a pas attendus. Et nous sommes là, sur le quai, voyageurs de passage, étrangers en étrange pays, à attendre qu’advienne ce qui ne reviendra jamais. Nous avons pris le train en marche, mais il ne marche pas à notre train. Le train nous lâche, nous sommes lâchés. Les choses nous sont opaques, nous nous cognons contre elles. Tout nous résiste, tout nous dépasse, tout nous manque, tout nous fait défaut. Nos yeux se cognent sur l’apparence des choses, ça nous tape dans l’œil, le constat nous sidère et, déconcerté, nous n’en finissons pas de buter. Le monde est buté et nous butons contre. Le monde fait butée. Libre à nous de prendre appui sur lui. De la butée, faire le but. Et débuter.

 Mars 2021

Vanina Tarnaud 

Take the A Train

Photographies 
 



Le voyage en train demeure une parenthèse miraculeuse, débarrassée des notions de temps et de lieu. Le regard englouti par le défilé des paysages, je me laisse bercer par le rythme du rail et commence à percevoir la musique silencieuse de mon théâtre mental. Cette mélodie me ramène à un état ancien, celui de l’enfance lorsque le temps savait s’étirer de sorte que puisse s’épanouir l’errance merveilleuse. Le bruit devient note, devient jazz, devient « Take the A Train », musique qui a coloré mon enfance. Le voyage peut commencer.
Mes images rendent compte de cette évaporation provisoire du réel, de sa métamorphose passagère.

Vanina Tarnaud, Mars 2021

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2020


J'ai fait la magique étude du bonheur 
Arthur Rimbaud




Du 1er au 27 septembre 



SILENCES


de Yann Bigant

le 11 février à partir de 18h30

2019

Cédric Poulain
Noctographies



Du 9 octobre au 2 novembre 2019



Les Miroirs
Deuxième partie du projet photographique de

Jarek T. Klos




Du 24 septembre au 5 octobre 2019
 
 La Pupille

Un projet photographique de 
Jarek T. Klos



 Est-ce que la perception du photographe,de l'artiste,,sélectionne,systématise le macro ou le micro monde? est-ce que la sensibilité de la "Pupille", indépendamment de nous-même, se dirigeant vers le lointain,se fiche naturellement dans des éléments particuliers de l'espace ?
  Je sais et je ne sais pas. Le jugement appartient  à ceux qui voient le plus. Je peux ajouter,préciser que la "Pupille" aide à appréhender ce qui, dans notre conception du monde, est "indéfini", elle permet d’ouvrir et de refermer l'espace-temps, de pénétrer l'insaisissable  nature des choses qui échappe à une description rationnelle de notre univers. Je sais que dans son insatiable curiosité la "Pupille" devrait dépasser la frontière des mots. De manière inattendue....
...comme dans le poème que j'ai écrit pendant la préparation de cette exposition :


...Est-ce vrai qu'en cette saison,
les larmes feuilles pourrissent,disparaissent ?
Pourtant, la lumière automnale n'a pas de langage.
Il n'y a que la pupille...




Du 10 au 22 septembre 2019
Du mardi au samedi : 15h - 19h
8 rue Servan - 38000 Grenoble

ex.nihilo38@gmail.com

EX NIHILO et PYGMAPHORE



Laurent Bagnard

Sur la frontière


du 18 au 28 Juin 2019 


Elli Lorz

Identités en chantier



  Dans ce territoire occupé, reconnaitre l’existence du Sahara occidental en tant qu'entité distincte du Maroc est une infraction passible d'une peine d'emprisonnement pour "atteinte à la sécurité intérieure" du Maroc.

La surveillance des forces de sécurité marocaines est constante, et l'activisme sahraoui sévèrement réprimé. 
Les autorités refusent l'entrée au Sahara occidental ou expulsent les étrangers qu'ils soient journalistes,experts des droits de l'homme, juristes, militants ou membres de l’ONU.

Décrypter les interventions humaines sur le paysage est un moyen de contourner le manque de liberté du à l'obstruction policière pour raconter et traduire ce conflit territorial en image.Il s'agit de rendre sensible une zone laissée à la marge de la représentation. Les stratégies policières se répercutent sur le terrain, et les paysages sont finalement bavards, généreux en témoignages.

Nichées dans le désert, les constructions deviennent les personnages principaux des images.Ces paysages portent en eux les traces de l'homme et de ses intentions.Hamadas,reg,erg,gueltas.L'être humain ne peut s’empêcher de conquérir et de délimiter ces espaces.Même en plein désert, il plante des signes qui témoignent à sa place.

11 décembre 2018 19 janvier 2019

Christine Coblenz

Mirare




Octobre 2018

 
un petit pan de ciel bleu
de
Michelle DOLLMANN


du 3 au 27 octobre 2018


EX NIHILO et PYGMAPHORE



Juin 2018

« Mexican street art » 

Laurent Bagnard

 


« Mexico 1920 : trois peintres, Orozco, Siqueiros, Rivera, sont mandatés par le gouvernement pour exécuter des fresques sur les façades d’édifices publics. Ils écrivent une charte dans laquelle ils définissent le Muralisme Mexicain, oeuvre monumentale puisant son style à la fois dans le passé indigène de leur république et dans le présent Européen – alors l’écrin de la culture dominante. Ils sont jeunes, motivés, talentueux et impressionnent le monde de l’époque avec leurs réalisations qu’ils exportent dans toute l’Amérique. Mexique 2018 : l’art de la rue est bien vivace et le pays qui a réinventé l’art de la fresque voici près de 100 ans ouvre une nouvelle voie en créant les couleurs qui guérissent du mal vivre ! Le collectif Germen Crew a eu raison de l’austérité, du crime et de la violence en créant un Muralisme Nouveau : l’oeuvre de street art la plus étendue du monde… »
Laurent Bagnard
 

Décembre 2017

Gilles Galoyer

 Do svidaniya Lenin 2/2

Photographies

L'Occident est resté 30 ans en arrière, 
figé dans les idées de guerre froide. 

Avec un titre en forme de clin d'oeil au cinéma

cette exposition montre la Russie d'aujourd'hui. 

 

du 19 décembre 2017 au 6 janvier 2018


 Do svidaniya Lenin 1/2
 


Studio JamaisVu !

4, place Championnet

38 000 GRENOBLE

Tél: 04 76 56 20 60 - 06 67 08 04 16


Site internet: www.studio-jamaisvu.fr




Octobre 2017

Bénédicte CHALJUB

Did you stand by me
 


Did you stand by me ?

    « Je revois ce fil tranquille, limite entre l’air et l’eau, le fond bleu des carreaux de faïence, les lignes vertes  que je suivais. J’en étais là, saisie, au milieu du grand bassin de cette piscine découverte du centre-ville…..  Entre l’étendue bleutée et le ciel gris. Paysage singulier de l’existence. […] Je repartais à la piscine pour quelques clichés. Je n’employais pas de méthodes, me fiais uniquement à mon intuition, mais il me semblait que je n’avais pas atteint mon but…. J’avais renoncé à inclure J. dans le projet photographique. Ce n’était pas le propos. La lumière était très belle. Le ciel se couvrait de nuages. Une fois chez moi, je trouvais deux textos de lui, qui prouvaient qu’il restait une fois de plus sur l’autre rive, étranger, loin… Je revivais l’impossibilité de fonder un dialogue partagé, réel. Pourquoi alors y revenais-je avec tant d’insistance ? […] » B.C., été 2016

   Bénédicte Chaljub est architecte et plasticienne. Les piscines sont des lieux d’architecture et d’histoires multiples. Elles forment des tableaux : tracés, escaliers, rebords, aplats bleus, verts ou gris, masse mouvante du ciel, horizons tendus ; lumières éclatantes, clapotis, reflets diaphanes, lignes immobiles, étendues vides, silences …. Et elles invitent à des cadrages de nature picturale, graphique presque. Depuis 2016, Bénédicte Chaljub utilise la photographie pour ouvrir des perspectives sur ce que ces piscines découvertes peuvent dire de nous. Ses vues deviennent les miroirs de l’absence, l’absence de l’autre ou des autres, de ceux qui nous manquent

Presse



Juillet 2017

Indios de Barcelona

dans le cadre du

Grenoble Street Art Fest
exposition photographique de

Laurent BAGNARD

à l'occasion de la parution de son nouveau livre http://indiosdebarcelona.com



Jean-Pierre Angei

EPHEMERIDES




du 10 Mai au 13 juin 2017


Ne sachant pas skier, j ‘ai été amené à passer une semaine en montagne, dans une station des Alpes, et j’étais très loin de l’engouement des skieurs à dévaler les pentes pour le pur plaisir de la glisse. Je suis moi, rentré dans l’observation tel un explorateur découvrant un nouveau monde avec une nouvelle architecture d’espace à découvrir.

J’ai pratiqué moi aussi une forme de glisse grâce aux télécabines pour suivre ceux d’en bas. Dans cet espace ou la grandeur naturelle est en partie marquée par l’homme, il y a là une sorte de tragédie du paysage, une cartographie contre cartographie. L’homme atteint des sommets dans la réorganisation d’un paysage. Je suis un badaud qui survole ces paysages avec et grâce aux téléphériques. Mon but n’est pas d’atteindre des sommets sans le moindre effort physique, mais de me perdre dans un voyage ou la pensée se prend à rêver, où l’infiniment grand et infiniment petit se mélangent.

Vue d’en haut j’avais l’impression d’observer des fourmis suivant et se suivant sur un chemin tout tracé et pour celles s’aventurant hors damages c’est pour ne laisser que des traces enlacées, cicatrices éphémères, marquant leurs passages, leurs présences, sur une infime partie de neige encore vierge. La force de ces montagnes qui m’entourent et m’envoûtent, rend vérace la fragilité de nos êtres qui forment un tout, jouant et se jouant l’un de l’autre. Après une semaine de soleil à étirer des ombres, où le visible infini nous a été donné à voir, j’ai eu enfin à la dernière journée de ce séjour, une tombée de nuages, manteau de brume qui m’a plaqué au sol. Cette brume qui voile et dévoile à celui qui s’avance le plus beau pays du monde. 
Jean-Pierre Angei

 


Alexis Bérar


L'EMPREINTE DIGITALE




du 4 au 29 avril 2017


après " Eux aussi ils se sont tus " et " un Havre " en 2015






"À fleurs de corps"photographies deMarielsa NIELS




Exposition du 3 au 25 mars




" Le corps est la demeure de la conscience. L’un et l’autre dialoguent

ensemble, parfois parallèlement mais généralement s’entremêlent.

Souvent nous voulons briser l’écorce de la forme extérieure, dans

l'espoir de découvrir l’essence même du sujet. Cette traversée n’est pas

toujours synonyme de réalité, c'est que l'apparence ainsi mise à nue nous

renvoie inlassablement à une dimension intérieure, mais elle peut nous

ouvrir vers nos héritages substantiels.

En effet, notre être est sans nul doute, la somme de nos héritages et de nos

vécus. C’est pour cela que j’ai choisi dans cette série, de photographier trois

générations et de les mêler les unes aux autres par la transparence et la

matière, comme s'opère la transmission intergénérationnelle. "

Marielsa Niels
Exposition présentée par




PYGMAPHORE




Lea Lund & Erik K.

 Nomades

 du 13 Septembre au 1er Octobre

  PHOTOGRAPHIES


" Adeptes du mélange des genres, Lea Lund et Erik K cassent les codes pour capter des ambiances empruntées au reportage, au portrait, aux photos de mode ou d’architecture, dans un style brut devenu leur signature: un traitement noir et blanc qui semble avoir été taillé au scalpel.

«Notre inspiration est dépendante de l’instant, de la lumière, des rencontres, du hasard, qui est souvent le fil conducteur de nos pérégrinations artistiques. Il est difficile de savoir si un lieu va nous inspirer avant de nous y être rendus», explique Lea Lund. "

Vincent Flamion

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du 19 avril  au 16 mai 2016

Christian Descouens

Navigation sans instruments   PHOTOGRAPHIES

En collaboration avec Pygmaphore

qui expose

"Incertitude Maritime"




du 24 mars au 9 avril  2016

Gwenaël Mersaoui

Compressions  


En collaboration avec Pygmaphore

ex.nihilo38@gmail.com




 ALEXIS BERAR

Alors… eux aussi ils se sont tus
Photographie post-animalière


conjointement avec Un Havre  
à la galerie Pygmaphore
 

ex.nihilo38@gmail.com

du 6  au  31 Octobre 2015







du 2 au 17 Octobre

 DOMINIQUE LEMAIRE


Dessins photographiés en format panoramique 
puis  retravaillés à l'encre sur Dibond

du 12 au 28 mai

CYPRIEN BICHET

photographies 

Exposition 

 "La photographie et la montagne sont deux passions depuis de nombreuses années. Le baccalauréat en poche, je décide de vivre pleinement mes passions et de partir m'installer dans les Alpes.
Il s'ensuit une période dans la métallurgie et les travaux en hauteur. Malgré ça, mes passions restent intactes, j'arpente la montagne en toutes saisons et immortalise ces instants."
 Cyprien  Bichet



mai 2014 

VANINA TARNAUD

photo/superpositions


" Le travail commence alors même qu'on l'ignore, dans l'observation du monde alentour, dans la perception accrue du visible et de l'invisible. On se remplit de ce qui est incarné, inconscient que ce qu'il en restera réside dans l'immatériel.
http://4.bp.blogspot.com/-23YLDjUiOag/VKMka-IKzaI/AAAAAAAASv4/zBdXPHJu9zI/s1600/sisters.jpg.jpeg 

On aménage un paysage du dedans qui sera la matière grâce à laquelle un voyage immobile deviendra possible. La suggestion laisse la place à chacun, au regard de l'autre. Elle permet une liberté à celui qui s'arrêtera, d'interpréter, de reconnaître, de repousser, et pourquoi pas de démolir ". Voir


Jordi Urbon 

Art digital,photo-montage 

Delirium

"Jordi Urbon, artiste catalan, (re)travaille ses photos afin de laisser émerger un monde onirique, obsessionnel, à la limite de la déraison." Le Petit Bulletin.


septembre octobre 2012






du 8 au 25 avril 2014 

François-Marie PERIER 

 








Hamid Debarrah

Aphorismes


" Son tempérament l’incite à se pencher sur tout ce qui est petit, véniel, apparemment insignifiant : la corolle d’une fleur ou un bout de carton ondulé, les reflets des réverbères sur les rails du tramway...
Dans ce motif minuscule, il débusque ce qui éveillera l’émotion : la pureté d’une ligne, la rigueur d’un contraste, un surcroît d’humanité... "






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