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GALERIE EX NIHILO

 

 

Lise Busarello

mardi 16 mai 2023 
Le temps d'un silence
 

 du 17 mai au 10 juin
du mercredi au samedi 15h -19h


 



 

 

 

 

Denis Morel

Pandora Dream

photographies


 
Du 18 octobre au 19 novembre 2022

 

Thierry Lathoud

Fragments

 
Du 6 Septembre au 1er Octobre 2022

 

Marion Massip

 Mon rêve aime bien la charcuterie



Du 19 avril au 21mai 2022

 

Mabeye Deme 

Gudi Dakar

 

du 1er mars au 2 avril 2022

 


Jean-Pierre Saez

caché derrière 



du 25 janvier au 26 février 2022

 Nathalie Marest

Ma vie aquatique

Photographies
 

 

Jean-Pierre Bonfort

du 2 au 27 novembre 2021

Jean-Pierre Bonfort

SOPALINS

Photographies 
 

 
 Il s'agit d'un ensemble de 13 diptyques de format 20x20 cm extraits de deux séries sur lesquelles l'artiste travaille depuis quinze ans qu'il tire sur du Sopalin.
 

 
"Bravo le haricot" est dédié  au peintre René Moreu.
"C'est pas pour dire" au footballeur Rachid Mekloufi 

 

du  premier au 26 juin 2021

Jean Louis Roux 

Buter, buter, buter encore

 
Photographies 
    La vie durant, nous n’en finissons jamais de buter sur les choses. Nous butons et butons encore, nous butons et rebutons. Non pas que les choses soient rebutantes, mais que tout, toujours, nous apparaît dans son étrangeté. Nous sommes des étrangers. Nous sommes venus au monde, mais le monde ne nous attendait pas. Il ne nous a pas attendus. Et nous sommes là, sur le quai, voyageurs de passage, étrangers en étrange pays, à attendre qu’advienne ce qui ne reviendra jamais. Nous avons pris le train en marche, mais il ne marche pas à notre train. Le train nous lâche, nous sommes lâchés. Les choses nous sont opaques, nous nous cognons contre elles. Tout nous résiste, tout nous dépasse, tout nous manque, tout nous fait défaut. Nos yeux se cognent sur l’apparence des choses, ça nous tape dans l’œil, le constat nous sidère et, déconcerté, nous n’en finissons pas de buter. Le monde est buté et nous butons contre. Le monde fait butée. Libre à nous de prendre appui sur lui. De la butée, faire le but. Et débuter.



Mars 2021

Vanina Tarnaud 

Take the A Train

Photographies 
 



Le voyage en train demeure une parenthèse miraculeuse, débarrassée des notions de temps et de lieu. Le regard englouti par le défilé des paysages, je me laisse bercer par le rythme du rail et commence à percevoir la musique silencieuse de mon théâtre mental. Cette mélodie me ramène à un état ancien, celui de l’enfance lorsque le temps savait s’étirer de sorte que puisse s’épanouir l’errance merveilleuse. Le bruit devient note, devient jazz, devient « Take the A Train », musique qui a coloré mon enfance. Le voyage peut commencer.

Mes images rendent compte de cette évaporation provisoire du réel, de sa métamorphose passagère.

Vanina Tarnaud, Mars 2021

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mai 2014

mai 2014

Vanina Tarnaud

 photo/superpositions

" Le travail commence alors même qu'on l'ignore, dans l'observation du monde alentour, dans la perception accrue du visible et de l'invisible.

 

On se remplit de ce qui est incarné, inconscient que ce qu'il en restera réside dans l'immatériel.

On aménage un paysage du dedans qui sera la matière grâce à laquelle un voyage immobile deviendra possible.
 
 


La suggestion laisse la place à chacun, au regard de l'autre. Elle permet une liberté à celui qui s'arrêtera, d'interpréter, de reconnaître, de repousser, et pourquoi pas de démolir ".

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